Victoire était dans son salon de coiffure, assis à son bureau en train de noter un rendez-vous pour une coupe. Une jeune femme aux cheveux blonds longs, de magnifique cheveux, voulais se les faire couper très court, et les mettre de couleur vert flache avec des point jaunes. Iiii! Pourquoi voulait-elle changer ses cheveux qui sont très magnifiques pour les, abimer? Se n’était pas du tout du style à Victoire, et c’est pour cela qu’elle dévisagea légèrement la jeune femme. Mais pas trop longtemps, elle ne voulait pas donner une mauvaise influence à son commerce…. Victoire changea son regard mesquin pour un plus doux, ses lèvres pincer de façon insultante pour un sourire, et lui confirma une date pour cette coupe qu’elle voulait tant…. La jeune femme signa en bas d’un bout de parchemin pour affirmer qu’elle voulait cette affreuse coupe. Cependant, elle garda le sourire en remerciant Victoire et de rebrousser chemin pour sortir du salon de coiffure. Victoire soupire et une de ses employées approcha vers elle, déposa ses mains sur le petit comptoir et s’accota sur ses mains avant de dire :
- Pauvre fille, ses cheveux sont si magnifique, elle veut vraiment les abimés? - "
" - C’est son choix, mais je n’ai pas hâte de voir sa réaction s’avoir fait une telle coupe de cheveux…- "
Les deux jeunes femmes rigolèrent un cour moment. Victoire ne fermait pas boutique aujourd’hui, donc, elle pouvait quitter. C’est ce qu’elle fit. Elle se leva doucement, plaça ses bras aux côtés de ses hanches le dos droit, marchant la tête haute, le coup droit, jetant des petits regards mesquin aux jeune adolescents qui se fessait une affreuse tête. Elle prit son manteau, balança ses cheveux en arrière avec sa main droite et sorti du salon….
***
Victoire marchait dans les rues qui étaient recouverte de neige blanche et froide. Des jeunes enfants jouaient dans la rue, courant partout, joyeux, naïfs… Cela rendait un peu triste Victoire, car, quand elle était plus jeune, de leur âge, elle aurait aimé joué comme eux le font. Mais sa mère, trop superficielle, pensé que de joué était une grosse perte de temps. Donc, à la place, elle avait apprit à Victoire les bonnes manières. En passant à sa jeunesse, la jeune femme fonça sur une personne. Elle répliqua presque aussitôt :
" - Pardon… Monsieur, j’était un peu perdue…. - "